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[Montesquieu & Dorothée] ₪ watch me make the most of whatever's left
Montesquieu Mar 29 Juin - 5:56
Rang personnalisé :
Chaos was the law of nature; Order was the dream of man.
Chaos was the law of nature; Order was the dream of man.
Âge et ancienneté :
24 ans ; 2 ans d'ancienneté
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Occupation :
Herboriste
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Voie lunaire :
Le Brasier
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Niveau de stress :
Image/gifs :
Identité :
Monomer (il, ou juste Mono)
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Activité RP :
3/4 jours/semaine, peut varier
3/4 jours/semaine, peut varier
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Yuri Pleskun
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50
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Montesquieu
Il est nerveux, un rien le fait sursauter. Il est chaotique, désordonné, confus et anarchique. N'importe quoi peut le faire éclater de rire un jour, puis de colère le lendemain. Il traîne un peu partout avec lui une grosse poule rousse nommée Dorothée, d'après sa belle-mère (qu'il dit). Il n'est ni affecté par la honte ni par la gêne. Il est très rarement sobre – d'alcool ou de drogue –, mais arrive à fonctionner tout de même. Il déteste qu'on lui coupe la parole ou parle par-dessus lui, et réagit violemment en temps de crise lorsqu'on essaie de lui dire comment faire son travail. Il est végétalien et survit très bien sans la cantine, même s'il ne déteste pas manger en même temps que les autres. La maltraitance, la violence gratuite et la persécution le met hors de lui, assez pour qu'il décide d'intervenir lorsqu'il croise la route d'une victime, quitte à rentrer au campement avec un coquard et une lèvre éclatée. Il est vulgaire et arrogant, odieux même, et suffisamment observant pour savoir où ses invectives peuvent blesser le plus. Il déteste qu'on dénigre ou qu'on moque son travail. Il revient souvent au campement avec des couleuvres, des crapauds ou des scarabées. Il ne semble pas totalement haïr l'attention qu'on lui accorde depuis qu'il traîne Dorothée avec lui.
Herboriste zélé
Montesquand est, d'abord et avant tout, un cueilleur solitaire. À partir des Semences jusqu'à la fin des Récoltes, il occupe la majeur partie de ses journées – lorsqu'il est suffisamment en forme – en nature, loin du campement et de son faubourg bruyant. Lorsque le soleil commence à descendre, il revient souvent chargé comme une mule, de paniers et de sacs, parfois même le bras empalé sur un morceau de ruche abandonnée, trouvée par terre en chemin, faut de pouvoir tout transporter lui-même. Depuis leur installation à l'ouest de Tollen, il a pris l'habitude de s'arrêter au même petit ruisseau pour prendre soin de laver et trier les fruits de son labeur, juste avant son retour au camp.
Son premier arrêt se fait inévitablement aux cuisines, d'abord pour y chaparder un petit encas en passant, mais surtout pour y déposer une généreuse partie de ses récoltes comestibles : fleurs, petits fruits et noix, champignons et légumes sauvages, plantes herbacées, quelques racines aussi. Montesquoi ramène ensuite le reste de ses provisions jusqu'à sa tente, déjà pleine de végétaux en train de sécher dehors, accrochés à des châssis de fortune en bois. L'intérieur de son logis est dans le même état, des bouquets d'herbes et de fleurs sont suspendus aux poutres et aux équerres qui soutiennent la toile du toit, enveloppent l'espace d'un baume aussi épicé qu'écœurant.
Apothicaire douteux
Les herbes simples sont préparées et mises de côté : la sauge, l'achillée millefeuille, le lys, la consoude, l'armoise, la molène, la guimauve sauvage, le millepertuis, la verveine, la mélisse, la rose et violette, peuvent être séchées pour des remèdes faciles. La lavande, la valériane, le laurier, les fruits de persil, de fenouil et d'anis, le latex de pavot et la térébenthine servent dans la production d'électuaires comme la Thériaque : un contrepoison très efficace. Le muguet, les graines de ricin, les baies de lierre, la colchique et la belladone sont traitées à part, soit transformées en infusion mortelles, soit réduites en poudres toxiques. Les feuilles de coca sont séchées et transformées en stimulants naturels pour lutter contre le sommeil durant les missions nocturnes, tandis que le cannabis favorise le sommeil et permet de soulager les blessés. La datura et le psilocybe peuvent servir d'anesthésiant naturel, ou à des fins récréatives (salut Drathir). Consommer un mélange peu ragoûtant et gluant d'aloès, de séné, de menthe, de ginseng et de persil peut provoquer un avortement et servir de stérilisant naturel pour la femme. Pour les hommes, une infusion à la racine de panais et au pollen de chêne et de pin, permettent un effet contraceptif similaire, bien que moins efficace.
Montesquieu Mar 29 Juin - 5:56
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Fol-Oisel — Vague connaissance
Rares sont les hommes que Montesquoi n'injure pas dès la première heure et bien qu'il n'eut l'occasion d'échanger avec Fol-Oisel qu'une poignée de fois très brèves, il préfère aborder celui-ci d'une familiarité déstabilisante, étourdissante. Le chasseur lui inspire une certaine nervosité, peut-être une fragilité ou une sensibilité sous-jacente, à tout le moins une passion et une douceur sans équivoque pour les oiseaux. Pour Montesquieu et la noble Dorothée, c'est suffisant : et Fol-Oisel peut bien garder ses secrets et ses squelettes pour lui-même.
- Extrait:
- Quel drôle d'oiseau, s'était dit Montesquieu – qui ne s'y connaissait pourtant pas en volatiles. C'est d'ailleurs pour cette raison qu'il allait à sa rencontre, ce Fol-Oisel. Quel drôle de nom aussi. Il était armé d'une pomme comme petit encas et d'une Dorothée locasse sous le bras lorsqu'il trouva l'homme. « Cot cot, cot cot. » Le dénommé s'occupait d'un cheval, agenouillé à ses sabots, et Montesquieu trouva judicieux – absoluement pas envahissant et bien élevé – de s'introduire en déposant Dorothée sur la selle tout juste cirée de sa monture. « Y paraît qu'tu connais ça, les piafs ? » Montesquieu commençait déjà à découper sa pomme, portant les tranches à ses lèvres avec la lame du couteau. « J'l'ai gagnée aux cartes, près de Mansé, et j'sais pas trop quoi en faire ou ce qu'elle mange. » Fol-Oisel l'accueillit d'abord comme tout le monde accueillait ses mauvaises manières : en hésitant, en le dévisageant, mais bien vite celui-ci se releva pour caresser sa poule et l'ausculter sommairement. « Dorothée, elle s'appelle. Comme ma belle-mère », mentit-il. Montesquieu écouta ses premiers conseils timides en mastiquant lentement, déconcentré par la chevelure indomptable de Fol-Oisel, virevoltant dans tous les sens chaque fois qu'un peu de vent y soufflait. Il ne pouvait s'empêcher de suivre des yeux la main qui, chaque fois, tentait de les repeigner convenablement. « Huhun... » acquiesçait Montesquieu de temps à autres, pour faire bonne mesure ou semblant qu'il comprenait. « P't'être un p'tit enclos, ouais. Après la nuit, j'sais pas si j'aurais pas peur qu'elle se fasse choper par un renard... Ou alors j'la rentre dans la tente pour dormir, ouais, pas con, pas con. » Leur échange fut bref, quelques minutes à peine, et Montesquieu était reparti d'où il était venu, non sans le remercier et le saluer d'abord – deux choses qu'il faisait rarement. Depuis, parmi toutes les têtes qu'il pouvait appercevoir en survolant des yeux la Compagnie, la sienne, ou du moins sa crinière fauve, s'extriquait de la masse.
Drathir — Collaboratrice hostile
- Extrait:
- C'était calme, c'était paisible, avec un peu de vin autour du feu. « T'en veux ? » lui avait proposé Montesquieu, en tendant une cigarette qu'il venait tout juste de rouler et dans laquelle il avait égrainé un peu de datura. Juste un brin, presque rien, juste assez – c'était-il dit – pour se détendre et rigoler un peu. Pensa-t-il, innocemment, en la regarder allumer la cigarette. Sourit-il, de bonne foi, en la voyant inhaler. « La bleue ! » s'était-il moqué en l'observant dériver doucement au large de contrées nébuleuses. D'abord elle riait avec lui, mais bien vite elle s'agita d'une énergie à tel point décousue que Montesquieu se sentit obligé de la poursuivre à travers le campement. « Noooon, elle va bien, t'inquiète ! » Il rassurait les spectateurs inquiets au passage, supportant sur son épaule une Drathir complètement défoncée qui lui fouettait le visage de sa tignasse blonde dès qu'elle changeait de cap ; tantôt vers la gauche pour chaparder une nouvelle bière qu'elle renversait à moitié sur elle, tantôt à droite pour accueillir quelqu'un d'une accolade bien trop affectueuse. Montesquieu parvint néanmoins, après plus d'une heure à parader derrière elle comme un guignol, à raccompagner Drathir jusqu'à sa tente : juste à temps pour qu'elle rende son repas à quelques pas de l'entrée. « Manquait plus qu'ça, tiens... » Il s'était toutefois accroupit pour lui tenir les cheveux et l'écouta délirer en acquiesçant de temps à autres, comme s'il comprenait quoique ce soit à ce qu'elle était en train de lui raconter. Lorsque Drathir rampa à l'intérieur de sa tente sans demander ses restes, sans même un aurevoir, en grognant d'inconfort, Montesquieu se releva en soupirant. Il ne la connaissait que de nom et de réputation, Drathir la siffleuse, et il avait tout à parier qu'elle lui revaudrait ça. Dès le lendemain, sans doute. Il se préparait déjà mentalement : « Mais j't'ai jamais tordu le bras, oh ! » s'imaginait-il lui répondre, ou : « Mais, ma belle, faut pas mettre n'importe quoi dans sa bouche... » Il était dans de beaux draps, tiens. Dire qu'il fournissait souvent enduits toxiques et autres produits mortels aux éclaireurs de la Compagnie ; à tous les coups, leurs futures interactions ne sauraient rester cordiales, déjà qu'elles n'étaient pas très polies pour commencer.
Aliénor — Camarade de beuveries
- Extrait:
- « Laliho ! la compagnie des compagnons ! » gazouilla une voix aussi enjouée qu'elle était encore loin. « C'est l'heure ! » Montesquieu avait levé vers l'entrée de sa tente deux yeux ronds comme des soucoupes, aux iris noirs et dilatés. Quelques secondes plus tôt, il avait encore la moitié du visage encastré au-dessus d'un bocal embué au fond duquel brûlait, d'une fumée épaisse et blanche, une demie-douzaine de graines de pavot enveloppées dans une feuille de menthe. Un cling-clang d'instruments en métal retentit, un bing-bang de caisses en bois, puis un coup de pied dans une poule plus tard et Montesquieu était relevé, vaillant comme un soldat au garde-à-vous, attendant l'intrusion inévitable d'Aliénor. Lorsqu'elle passa la tête à travers la toile de sa yourte, tout sourire et malicieuse, l'apothicaire était prêt : poing au ventre, solonel. Il s'inclina même d'une salutation polie et pompeuse, bien que maladroite et déséquilibrée : « Mad'moizelle... ». Aliénor lui tendit la main pour l'inviter à sortir et Montesquieu s'emmêla les chevilles dans un bordel de babioles avant de la rejoindre. Ils éclatèrent de rire, manquant tomber à la renverse et il s'entendit promettre, d'une voix déjà pâteuse et mal articulée : « Z'uste un p'tit verre mad'moizelle, hein, pas plus ! D'main, y'a école. »
Violette — ???
- Extrait:
Mordante— Partenaire d'entraînement & collègue
Jumelés plus d'une fois ensemble durant leurs entraînements obligatoires au combat et souvent réprimandés pour leur manque de discipline durant ceux-ci, Montesquoi et Mordante forment un duo aussi efficace pour soigner qu'il est inutile à l'épée. Tantôt professionnels et sereins autour d'un repas, tantôt enflammés d'une passion aux abois, ils savent se tenir tête lorsqu'il est critique pour l'un d'élever les standards de l'autre, donnant parfois à leurs querelles des airs de vieux couple. Si Montesquetuveux, dans sa nonchalance habituelle, préconise la patience comme une vertue, Mordante est souvent derrière lui pour le ramener sur terre lorsque ses traitements n'ont pas leur effet escompté.
- Extrait:
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petite place pour les rps <3
Montesquieu Mar 29 Juin - 5:56
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An 754
Saison des semence
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